Une journée à Huaraz avec Macario
La compagne de Macario l’aide à préparer le déjeuner mais Macario se débrouille aussi très bien tout seul. Un seau « Vini latex » lui fait office de bol.
On discute un peu
Puis, une fois le ventre « plein », Macario et sa compagne commencent le trajet quotidien.
Ils descendent en ville…
… traversent le marché…
… et arrivent dans la grande rue.
Quand quelqu’un lui donne une pièce, il est surpris. Il tend l’oreille et arrive à reconnaître la somme au son de la pièce dans sa boite. Macario est content et il continue à jouer de plus belle.
De temps en temps, il vide sa boite dans sa poche car 1 sole est 1 sole. Et c’est déjà beaucoup pour lui. Des enfants l’observent et quelques fois, lui piquent sa boite, avec ce qu’il y a dedans.Allez, ce n’est pas grave Macario, fais pas la gueule, je vais te préparer une bonne comida !!
coucou Alex
Cette fois ci je n’ai pas ris en lisant ton article au contraire tu m’as émue, et je pense qu’au milieu de notre vie facile nous qui vivons « bien » par rapport à tous ces gens qui ont peu et qui garde le sourire nous sommes mal venu de toujours souvent nous plaindre. tu as bien raison de nous mettre le doigt dessus
bises
Lili > arrête tu vas tous nous faire pleurer là… 😉
Sinon c’est vraiment des « personnages » ces deux-là !